Atelier TroisKart

Ateliers artistiques

Comment est né l’atelier TroisKart ?

Notre collectif s’était constitué un tout petit peu avant le début du projet de Hôp hop hop. Florence, Annette et moi (Pascale) avions envie de nous réunir dans un même espace pour travailler, plutôt que d’être à la maison, et de proposer des ateliers à destination du public. L’appel à candidature est tombé à point, car nous étions justement à la recherche d’un lieu qui ne soit pas trop cher. Le texte de présentation du projet Hôp hop hop était en adéquation avec les envies de notre association.

Quelle a été votre première impression quand vous êtes arrivées dans les locaux ?

La beauté des lieux ! Ces grands volumes, la pierre de taille, la hauteur de plafond, la luminosité, qu’est-ce que c’est beau ! Il y a eu un océan de personnes qui est venu visiter les locaux, nous n’étions pas sûres que notre candidature serait retenue.

Qu’est-ce que cela vous a apporté le fait de venir dans un lieu pluridisciplinaire, ouvert, qui fait cohabiter une diversité d’usages et d’espaces ?

Ici, tout est possible, les idées trouvent un terreau pour se développer. Comme c’est temporaire, c’est léger, il n’y a pas d’enjeu financier très important, ca permet de faire des expériences sans être stressé par le fait que ça marche ou pas. On a le droit à l’échec, on peut en parler entre nous et ensuite rebondir rapidement.

Chacun est démultiplié ici, tu peux être autre chose que ce que tu es d’habitude, tu peux exister par autre chose que seulement ton métier. “Oh tu sais faire ça !“ Tout ce qu’on sait faire sert à faire quelque chose ! C’est un autre rapport au travail. Grâce à la diversité des métiers qui sont présents ici, on peut suivre l’élaboration du travail des autres et mieux comprendre leur manière de faire. 

Un souvenir à Hôp ?

(un long silence avant de réussir à n’en trouver qu’un)

(Florence) La fête des 1 an, on a senti la cohésion de tout le groupe et comment créer un maximum de chose avec un minimum de moyens. Et puis bien sûr tous les temps des repas du midi, ce sont des moments où beaucoup de choses se créent !

(Pascale) L’inauguration de l’aile 1 du 17 Mai. Et puis lorsqu’on a participé au chantier participatif de la construction de la rampe PMR, un beau souvenir !

Florence, pourrais-tu revenir sur l’expression, devenue culte depuis, que tu as créée “Hôp hop hop devrait être remboursé par la sécurité sociale“ ? 

C’est sûr qu’Hôp hop hop n’engendre pas la mélancolie !

Qu’est-ce que vous ferez quand on partira ?

(Pascale) c’est un grand privilège d’être là, je suis très confiante sur la suite, sur le prochain endroit où nous nous établirons. 

(Florence) On ira boire une dernière bière au café l’Arsenic, puis soit on suivra Hôp dans un autre lieu, soit se créera un nouveau collectif. Ce sera impossible de retourner travailler à la maison, mais comme disait Pascale, grâce aux amitiés et rencontres faites ici, j’ai entièrement confiance pour la suite. 

(cette rencontre a eu lieu en juin 2019)

Nicolas Ponceau

À Hôp hop hop, je peins, je dessine. Ce n’est pas mon activité principale, mais je la maintiens depuis que

Bérangère Delaporte

Je suis illustratrice, plus seulement pour les livres jeunesse mais aussi pour les adultes. Je me considère comme une artiste.

Samir Azdig

J’ai une société spécialisée en recherche et développement en engineering mécanique. Je possède de l’équipement pour pouvoir faire du prototypage

Midi à 14h

Comment a commencé l’aventure “Midi à 14h“ ? (Virginie) On s’est rencontré au lycée Pasteur à Besançon, en design graphique.

Stéphane Angelier

Je suis rédacteur graphiste. Je fais de la communication, des journaux, des expos. Je fais de la mise en page,

Chloé Truchon

Je fais de la radio professionnellement. J’aime bien la radio car on peut faire plein de choses. Je fais de