Midi à 14h

Atelier graphique

Comment a commencé l’aventure “Midi à 14h“ ?

(Virginie) On s’est rencontré au lycée Pasteur à Besançon, en design graphique. Puis avec Julie on a décidé de créer le collectif. On a mis beaucoup de temps à trouver un nom de collectif, plusieurs mois ! Un jour Julie s’est exclamé “Il ne faut pas chercher Midi à 14h“, et là on s’est regardé, et on s’est dit “c’est ça !“ Midi pour Julie et son côté “j’aime faire à manger“ et 14h pour moi car j’aime bien le café. On aimait bien cette idée d’avoir un nom en deux parties pour refléter nos deux entités. 

Qu’est-ce qui vous a attiré à avoir un espace de travail à l’Arsenal ?

On travaillait ensemble dans un studio à la maison avant d’arriver ici, il y a presque 1 an maintenant. On voulait s’ouvrir, rencontrer de nouvelles personnes, pouvoir dire “aller au travail“, avoir des voisins !

Quelle a été votre première impression quand vous avez visité les locaux ?

On ne le sentait pas du tout au début ! Personne ne parlait pendant la visite, c’était l’hiver, tout le monde était malade, il faisait froid, c’était sombre, on ne voulait surtout pas être au RDC avec le carrelage. On a beaucoup hésité avant de venir ici. 

Que vous a apporté le fait de venir dans un lieu pluridisciplinaire, ouvert, qui fait cohabiter dans un même lieu une diversité d’usages et d’espaces ?

(Julie) Pour moi, l’Arsenal, c’est un “lieu des possibles“, un lieu où tout ce qu’on a envie de faire, on peut le faire. Et il donne envie de faire beaucoup de choses.

(Virginie) L’Arsenal, c’est une comme une micro-société, car on retrouve le facteur humain, social, environnemental… Et c’est une grande chance d’en faire partie ! 

Un souvenir à Hôp ?

(Virginie) La fête des 1 an ! De voir tout le monde mettre la main à la pâte pour préparer cette soirée, c’était émouvant, ça a tissé des liens plus étroits entre les résidents. Ça m’a demandé beaucoup d’énergie d’aller chercher tout le monde, les relancer, mais ça en valait la peine !

(Julie) Quand la fibre est arrivée ! Quel soulagement, quelle joie ! Et sinon, les déjeuners tous ensemble le midi, c’est un joyeux quotidien !

(Rosario) Les sessions de ménage avant qu’on rentre dans les locaux, à frotter le sol du couloir !!! 

Quel est l’espace que vous fréquentez le plus ?

Le petit café, où l’on mange tous les midis. On peut reconfigurer l’organisation des tables, pour inclure toutes les personnes qui viennent déjeuner, c’est très sympathique, on apprend à se connaître. Les autres sont jaloux des petits plats qu’on se prépare, ce midi ça sentait bon les champignons cuits dans du vin blanc…!

Que ferez-vous quand on devra quitter les locaux de l’Arsenal  ?

D’abord on pleurera, mais peut-être que les bergères de Hôp nous proposeront d’aller dans un autre endroit, ou alors on déménagera dans un autre espace de travail, avec d’autres personnes rencontrées ici. 

(cette rencontre a eu lieu en avril 2019)

Rodho

Je suis dessinateur de presse pour une presse indépendante, c’est-à-dire une presse qui ne vit uniquement grâce aux abonnements, et

Maude Ligier

J’ai une formation d’historienne de l’art. J’ai un rapport très esthétique à la création. J’ai travaillé dans un atelier d’artiste

Grégory Olympio

Je suis artiste plasticien, enfin, surtout peintre. J’utilise quelques fois d’autres techniques, l’écriture ou l’installation.  Quelle a été ta première

Carlos

Carlos est un surnom devenu un pseudo. Je suis graphiste, illustrateur, motion designer, indépendant depuis 15 ans. Avant je travaillais

Midi à 14h

Comment a commencé l’aventure “Midi à 14h“ ? (Virginie) On s’est rencontré au lycée Pasteur à Besançon, en design graphique.

Stéphane Angelier

Je suis rédacteur graphiste. Je fais de la communication, des journaux, des expos. Je fais de la mise en page,